À travers quatre générations de Rwandais, le roman explore comment les blessures du génocide se transmettent, affectant non seulement ceux qui l'ont vécu directement, mais aussi leurs descendants. Cette exploration délicate montre comment les silences et les non-dits façonnent les relations familiales.

Le jacaranda, figure centrale du récit, représente à la fois la permanence et le renouveau. Cet arbre majestueux devient le gardien silencieux des secrets, des confessions et des espoirs, symbolisant la capacité de la nature à transcender les tragédies humaines.

Le roman illustre comment le dialogue, même difficile, devient un outil essentiel de reconstruction personnelle et collective. Les conversations entre Milan et Stella représentent ce long cheminement vers la compréhension et la réconciliation.