Le dolmen, monument funéraire ancestral, devient le point central du récit. Sa présence imposante et chargée d'histoire influence l'enquête, les personnages et l'atmosphère générale du roman. Le passé, loin d'être mort et enterré, ressurgit et pèse sur le présent, rappelant que certaines choses ne disparaissent jamais vraiment.

Fidèle à lui-même, le commissaire Adamsberg utilise des méthodes peu orthodoxes pour résoudre l'enquête. Son intuition légendaire, souvent déroutante pour ses collègues, le guide sur des chemins inattendus. Il observe, il ressent, il comprend les êtres humains et leurs secrets mieux que quiconque.

Malgré la gravité du meurtre, Fred Vargas distille avec brio un humour noir et une dose d'absurde qui caractérisent son style. Les dialogues sont piquants, les situations cocasses, et les personnages hauts en couleur.